Saint Guilhem le Désert est situé en Occitanie dans le sud de la France. Le village a une longue histoire et l’un des plus beaux de France.
Scène spirituelle sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, Saint-Guilhem-le-Désert est une petite ville médiévale qui est l’un des plus beaux villages de France qui vous offre une pause unique…
Saint Guilhem le Désert est construit autour d’une abbaye fondée au début du IXe siècle par l’un des chevaliers de Charlemagne. Et pas seulement un: Guilhem, l’arrière-petit-fils de Karel Martel. Il a été élevé à la cour du roi et était donc une sorte d’ami d’enfance du futur empereur.
Avec Karel, il bat les Maures près de Nîmes et les ramène à travers les Pyrénées. Guilhem était apparemment un homme religieux et a fondé le monastère de Gellone où Les Verdus se jette dans l’Hérault, encore un lieu unique. Après cette guerre, il est rentré chez lui, où il a découvert que sa femme était morte depuis.
Le pauvre homme décida de se retirer dans son nouveau monastère, mais Karel lui-même y met un terme et l’appela à des services à sa cour. Noblesse oblige et Guilhem répondàa à l’appel de son seigneur. Après quelques années de bons et loyaux services, il a reçu un certain nombre de titres importants en récompense, dont celui que nous connaissons bien : le Prince d’Orange (Orange). En outre, Charles lui a donné les reliques de la Sainte-Croix dans son monastère.
Les dernières années de sa vie, il vécut dans le monastère où il mourut également. Il ne reste que peu de vestiges du monastère du IXe siècle. Aux XIe et XIIe siècles, il est devenu un lieu de pèlerinage populaire et plus d’une centaine de moines y vivaient. Cela a apporté avec lui le budget nécessaire qui a stimulé le désir de construire. Ceci a eu comme conséquence les bâtiments actuels qui valent très bien vérifier.
Bien que le village est assez petit, il a beaucoup de petites rues étroites avec des boutiques confortables avec la célèbre offre touristique. Vous êtes également à la bonne adresse pour une collation et un verre. Surtout autour de la place centrale près de l’église, Place de Liberté, il ya beaucoup de belles tentes. Rue Saint-Guilhem-le-D-C3-A9sert Les rues étroites sont anciennes et belles. Il ya un arbre énorme et une fontaine sur la place et il ya beaucoup de taches ombragées pour profiter d’une collation.
Pourrait être combiné avec une visite au Cirque de Navacelles, un immense chaudron formé par un glacier, le Pont de Diable ou La Couvertoirade qui est juste autour du coin, un autre «Les Plus Beaux Villages de France» dans ce domaine, mais avec une histoire complètement différente.
La Légende du ‘Pont de Diable’
Chaque nuit, le Diable détruisait les travaux effectués par les deux abbayes d’Aniane et de Gellone pour construire un pont sur l’Hérault.
Guilhem a décidé qu’il doit s’entendre avec le Diable. Il lui a promis l’âme de la première créa ture à traverser le pont si le Le diable l’aiderait à construire un pont indestructible à cet endroit. Le Diable était d’accord. Lorsque le pont a été construit, ils l’ont récompensé par l’envoi d’un pauvre chien avec un pot de cuisson attaché à sa queue.
Furieux de rage, le Diable a essayé de détruire le pont … en vain, bien sûr!
Par dépit, il se jeta dans la rivière à un endroit connu sous le nom de «L’abîme noir».
» À St-Jean de Fos, malgré les précautions prises pour se débarrasser de lui. le diable rôdait déguisé en bouc ou en bélier. Il malencontreusement agacé toute la population locale et régulièrement attaqué l’église de St-Jean de Fos.
Un jour, le prêtre a décidé que cela avait été assez long. Alors il a monté une embuscade, l’intention de saupoudrer le diable avec sainte eau. Mais les choses ne se sont pas bien passé: tout ce que le prêtre a réussi à faire était enrager le diable. Après une bataille furieuse, le prêtre gisait mort et a été emporté, pointes sur les cornes du diable.
Les braves gens du village se sont armés de brochets et poursuivi le diable en criant « pica lou! Pica lou! (Le poignarder! Poignardez-le!).
Le Diable, affaibli par l’eau bénite, ne pouvait fuir la fureur des villageois. Dans une panique, il se jeta à nouveau dans le «noir Abyss’ dans l’Hérault, au même endroit où il avait sauté Avant. Depuis, les pèlerins sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle qui traversent la Pont du Diable s’arment de pierres et les jettent dans la rivière, pour être sûr que le diable ne sortira plus jamais de la «Noir Abyss’.